Qui? les cadres pardi!
Selon une étude de l’APEC reprise par l’afp, les cadres français ont le moral en berne malgré un marché de l’emploi qui leur est relativement favorable.
Les raisons? Ils se sentent menacés, vivent dans l' »intranquilité », permanente, n’ont pas l’impression que leur apport est valorisé comme il se doit (on parle de considération, pas de rémunération.
Un point sur lequel mon analyse diffère de celle de l’APEC: l’organisme estime qu’avec 53% des cadres interrogés qui disent avoir une motivation forte, 35% une motivation moyenne et 12% une motivation faible, l’engagement reste fort. Moi je trouve que ça fait 47% qui n’ont pas une motivation forte, et que plus d’un cadre sur 10 n’est pas motivé et au fond ça m’inquiète.
Cela me ramène également aux motivations du dénommé Max (dont je ne reviendrait ni sur le livre ni sur les performances bloggesques ou télévisuelles) qui mettait le doigt sur le manque de motivation du au déficit d’adhésion, au décalage de valeurs (réélles ou énoncées?) entre l’entreprise et le salarié…bref à l’inadaptation du message de l’entreprise. La question était posée…mais aucune réponse apportée.
Cela tombe bien, c’est un sujet que j’avais prévu de développer dans une suite d’articles actuellement en préparation. Le sujet semble plus que jamais actuel, à nous d’apporter les réponses…
Mise à jour: dans le même ordre d’idée et après le journal de max qui n’est plus ce qu’il était, je vous conseille également le blog d’un jeune cadre, où les interrogations d’un cadre face à la future réorganisation de son entreprise.
