C’est le thème de l’article que j’ai publié il y a peu sur envie d’entreprendre.
En effet plusieurs auteurs du blog concerné avaient commencé à poser la question et j’ai donné ma vision des choses largement inspirée par un de mes auteurs favoris, j’ai nommé Eliyahu M. Goldratt.
Tout cela pour vous dire quoi? En fait c’est le bon prétexte pour
– vous envoyer lire l’article en question
– vous dire à quel point je souscrit à la vision de Goldratt notamment en ce qu’elle met la satisfaction du personnel au même rang que l’atteinte des objectifs commerciaux et financiers
– vous rappeler que cette prise en compte (qui peut faire sourire au premier abord certains accros au compte de résultat) est également un élément du Balanced ScoreCard qui s’impose dans de plus en plus d’entreprises. Et donc un argument de poids en faveur du management 2.0? Why not…
– en passant, vous recommander les ouvrages de cet auteur…j’apprécie énormement sa manière de traiter des problématiques managériales et stratégiques sous forme de roman pour expliciter davantage ses théories. D’ailleurs, si cela dépasse largement mon champ d’action professionnelle, je m’y intéresse suffisamment pour penser à sortir à l’occasion quelques articles sur certaines de ces idées qui m’intéressent beaucoup (et donc je peux avoir besoin dans mon organisation personnelle…)
– le contexte des ouvrages de Goldratt est essentiellement industriel? Pas toujours (Un an pour sauver l’entreprise se situe dans le contexte de l’édition logicielle par exemple…)…et cela m’amène à une autre réflexion: avez vous conscience du nombre de pratiques du monde industriel qui s’imposent jour après jour dans le monde des services (PDCA, 5S et j’en passe)?