Pour ceux qui se sont intéressés à l’article que j’avais publié sur la plateforme web des salariés mécontents de chez Intel, deux autres exemples de ce qui se passe lorsqu’on refuse de laisser s’exprimer les opinions en interne.
Un premier que j’avais mentionné en commentaire sur l’article en question, GreenDotLife, concernant les salariés de Deloitte.
Le second, plus proche de nous, concerne les salariés de la FNAC : il s’agit de Blogofnac. Et dès le premier billet on est fixés.
Je suis le premier à reconnaitre que ce type de pratique n’est pas toujours inspiré par les meilleurs sentiments, et que l’entreprise concernée peut être également la proie d’une campagne mal intentionnée. Il n’en reste pas moins qu’on empêchera plus l’ouverture des dialogues. Et l’entreprise ne pourra l’ignorer sous peine d’être exclue d’une conversation la concernant.
Reste à se demander comment faire en sorte que tout cela ne se passe qu’en interne, et que la soupape de sécurité n’ait pas à exploser aux yeux du plus grand nombre.