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Un peu plus détails sur Oracle Social Network
« Le réseau social à la mode Oracle se dévoile un peu plus. Interopérabilité avec Fusion et d’autres applications, cloud et sur site, voici quelques éléments sur Oracle Social Network. »
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es entreprises utilisent des outils de collaboration aujourd’hui de manière très cloisonnée ». Par exemple, une conversation peut débuter en messagrie instantanée et peut ensuite continuer en répondant à un mail ou être redirigée vers un document stocké dans un autre système.
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« Il va être extrêmement difficile chronologiquement de comprendre comment une décision a été prise ou de partager le processus de prise de décision avec les autres» souligne le responsable et d’ajouter « OSN résout le problème en réunissant des communications en temps réel, le partage de contenu, l’intégration avec les autres applications d’entreprise, les flux d’activités et des outils de recherche
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Petit bémol, OSN sera compatible uniquement avec les bases de données Oracle.
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Les réseaux sociaux : des outils d’évaluation des compétences
« Un quart des cadres sondés par L’Atelier BNP Paribas seraient favorables à une évaluation de leurs compétences via les réseaux sociaux. La démarche permettrait d’évaluer des compétences que les cadres jugent insuffisamment prises en compte, du relationnel à l’animation ou encore l’implication dans la vie de l’entreprise. Une (r-)évolution, qui n’est certes pas imminente, mais certaine d’après les experts de L’Atelier. »
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Une large proportion de cadres estime que certaines compétences ne sont pas prises en compte dans l’évaluation par l’entreprise : 29% font référence aux compétences relationnelles, 43% à la capacité à participer ou animer des communautés autour de leur domaine d’expertise et 45% à la capacité à participer à la vie de l’entreprise
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Toutes les entreprises ont un site ; elles deviennent des media. Et les cadres jouent un rôle dans la chaîne de production media de l’entreprise, alors qu’ils ne sont pas des professionnels de la communication. De facto, ils participent à l’effort de communication de l’entreprise ».
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les cadres sont 61% à se déclarer favorables à ce que leurs compétences soient jugées en fonction de ce qu’ils publient.
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En revanche, 74% se déclarent défavorables à ce que soit évaluée leur capacité à s’exprimer sur les réseaux sociaux, professionnels ou grand publ
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Même si le « participatif », qui englobe alors les compétences citées plus haut (relationnel, implication dans la vie de l’entreprise et animation de groupe d’expertise), n’est pas considéré comme un champ d’évaluation par les équipes RH, il existe bel et bien.
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Pour une évaluation juste, il faut des standards, qui seront, d’après le DG de L’Atelier, imposés par Internet. « Internet a d’abord connecté des machines, dit-il. Puis le web a connecté des documents, et le web 2.0 des personnes. On peut imaginer que l’on tend vers le scoring de personnes. »
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Was Steve Jobs a Good Decision Maker?
If you judge only by the product outcomes or by Apple’s market value, Jobs seems the best decision-maker in the history of consumer products.
But of course, like every other human, his decisions weren’t all great.
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What I do all day is meet with teams of people and work on ideas and solve problems to make new products, to make new marketing programs, whatever it is.
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If you want to hire great people and have them stay working for you, you have to let them make a lot of decisions and you have to, you have to be run by ideas, not hierarchy. The best ideas have to win, otherwise good people don’t stay.
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If you’re the co-founder of a successful organization and your gut is as refined as Jobs’, you should use it often to make decisions. I’m guessing that combination is unlikely, so you might want to employ other decision methods.
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We’re looking at it all wrong: the intangible information gap
« I have been really heartened to see more attention to the way that the intangible information gap skews investors’ understanding of what’s really going on in today’s knowledge-driven companies. This latest article comes on the heels of a Reuters piece last month calling for getting intangibles on the balance sheet. »
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He responded by stating that our current accounting system doesn’t value “intangible capital accumulation” appropriately
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Most certainly, intangible capital accumulations are “expensed,” not capitalized. Such accumulations increase productivity, foster more efficiency, and drive better financial money flows than are currently measured
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Manifestly, if you are not measuring a company’s accumulation of “intangible capital” correctly, you are undervaluing corporate America
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What Steve calls intangible capital accumulation, we call i-capex or intangible capital expenditure. That’s what it really is: investment in the infrastructure upon which the future earnings of a company will be produced. There’s nothing really intangible about it. It’s not bricks and mortar but it’s truly infrastructure.
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We know that 80% of the value of the average company today is not represented on its balance sheet.
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