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GE : la transformation d’un géant industriel en entreprise numérique
Pour devenir une entreprise numérique, il n’était pas possible de se reposer uniquement sur les ressources humaines existantes. Aujourd’hui, 50% des quelque 300 000 employés de GE ont rejoint l’entreprise au cours des cinq dernières années. “Lorsque nous avons commencé notre transformation technologique, les hauts dirigeants de GE étaient plus souvent des avocats que des ingénieurs. Aujourd’hui, c’est le contraire”, explique Immelt.
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“Nous étions un conglomérat classique. Aujourd’hui, nous sommes une startup âgée de 125 ans (…) qui invente le futur de l’internet des objets”
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Convaincu qu’on ne peut se transformer en étant timoré — l’objectif de transformation doit, dit-il, devenir “une question de vie ou de mort” — il mise tout sur ce fameux “Internet industriel”
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Enfin, GE développe une plateforme logicielle dénommée Predix pour la collecte et l’analyse des données provenant des machines connectées.
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La résilience est pour Immelt la qualité essentielle d’une organisation (et d’un individu) : il faut pouvoir réagir aux événements, à défaut de savoir toujours les prédire. Pour pivoter quand c’est nécessaire, il faut savoir digérer des nouvelles leçons régulièrement. Tout cela requiert un changement culturel profond. Selon lui, “Il a fallu tuer la bureaucratie”.
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Pour devenir une entreprise numérique, il n’était pas possible de se reposer uniquement sur les ressources humaines existantes. Aujourd’hui, 50% des quelque 300 000 employés de GE ont rejoint l’entreprise au cours des cinq dernières années.
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Pour transformer ses ressources humaines, GE est aujourd’hui à l’avant-garde de la data science appliquée aux RH,
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GE a en particulier abandonné le très controversé classement des employés instauré à l’époque par Jack Welsh, qui souhaitait que, chaque année, l’entreprise se débarrasse des 10% des employés les moins performants.
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il a fallu que GE devienne une organisation plus horizontale. GE a donc poussé plus loin la collaboration entre entités pour que les organisations régionales fassent entendre leurs voix.
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