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medias sociaux dans le management de projet : trop d’une bonne chose ?
“Les professionnels en gestion de projet savent que l’objectif numéro 1 est de terminer le projet dans les temps et dans le budget. Le plus grand défi dans cette quête est de gérer l’inattendu qui arrive forcément au cours d’un cycle de projet. Organiser le chaos est une grande qualité pour un chef de projet.
C’est pourquoi plusieurs grands chefs de projets ont une approche prudente de l’intégration des médias sociaux dans leurs choix d’outils pour gérer les projets. Alors que les meilleures pratiques de gestion de projets influencent le plus la réussite des projets, les outils choisis sont également importants. Plusieurs chefs de projets se demandent si l’introduction des médias sociaux dans les meilleures pratiques structurées ajouterait une couche de chaos dans le processus qui ne serait pas la bienvenue.”
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Mais une grande partie de ces déploiements ont été commencés par des employés sans avoir eu l’autorisation préalable de la direction, ce qui a engendré un certain chaos dans les règles de sécurité pour les DSI avant de pouvoir reprendre le contrôle.
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Le flux de connaissances non structurées et spontanées généré par les outils sociaux est une bonne chose en soi; ils donnent la possibilité au chef de projet de recevoir des critiques constructives sur les projets et aussi d’identifier les problèmes et les accomplissements.
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Mais trop de bonnes choses peut être dangereux. La gestion de projet est ancrée dans les règles et procédures; or les médias sociaux n’aiment pas les règles.
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La distribution de document et les processus de révisions sont aussi nécessaires pour une bonne gestion de projets, ce qui ne correspond pas au modèle des médias sociaux.
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La clé est de dompter le manque de structure des médias sociaux et leurs tendances parfois chaotiques pour tirer profit de leurs avantages.
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Les médias sociaux peuvent offrir des outils excellents pour communiquer certains types d’informations, comme le statut d’un projet via Twitter ou RSS, pour tenir au courant tous les collaborateurs des informations pertinentes.
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Les médias sociaux peuvent également aider à unir les différentes équipes projets, qui deviennent de plus virtuelles et dispersées géographiquement.
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Les médias sociaux conçus pour les entreprises offrent une base de connaissance inattendue pour la gestion de projets. Ces outils exploitent les conversations et les données non structurées qui ne sont pas capturées dans le flux des données de la gestion de projets.
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Les médias sociaux, de par leur nature, aiment croître organiquement. Tandis que cette expansion pourraient causer des problèmes dans une équipe projet sans supervision, leur effet viral peut offrir un moyen d’incorporer des experts externes
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s’ils sont contrôlés et implémentés correctement, les médias sociaux peuvent doper la communication et collaboration au cours de tout le cycle du projet.
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Le Figaro – Vie de l’entreprise : Au travail, ne vous forcez pas à sourire
“Cette enquête menée auprès de conducteurs de bus montre que ceux qui se contraignent à être aimables voient leur humeur peu à peu se détériorer en même temps qu’ils tendent à se désinvestir de leur tâche. Elle confirme les conclusions d’études précédemment menées sur le sujet. «Les employés qui expriment leurs vrais sentiments jouissent d’une meilleure santé, ont un sentiment de réalisation personnelle plus fort et sont plus attachés à leur travail», “
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D’une manière générale, l’émotion demeure une denrée précieuse dans l’entreprise, de plus en plus appréciée des managers. Si l’enthousiasme ou la joie sont évidemment stimulantes, certaines émotions jugées négatives, telles la colère, possèdent aussi certaines vertus.
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Mais curieusement, alors même que nombre de managers prônent un usage raisonné de l’émotion au travail, la prolifération des open-spaces tend au contraire à l’en bannir ! «L’open-space, adopté par près de 60% des grandes et moyennes entreprises, est un véritable «tue-l’émotion». Il créé des comportements factices, des attitudes de façade»
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“Some people think that “social computing” in the workplace is a camel’s-nose concession to frivolity. They hear “social” and think they’re hearing the opposite of “business” (as in, “it’s a social occasion”) or the opposite of “significant” (as in, “just a social acquaintance”). They’re wrong.
The opposite of “social” is “antisocial” – and it’s time to replace antisocial IT with something that knows how to behave like a useful and valued colleague.”
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When a person is said to be antisocial, it means we’ll get grudging and disagreeable responses to our requests. It means we can’t hope for thoughtful notice of facts or events that might be important to us. It means little ability, or inclination, to start or maintain a conversation based on current events or shared interests. These are exactly the characteristics of old-model IT.
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We need something better: something that tells us when something has happened that there’s reason to think would interest us
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We’ve gotten accustomed to workplace tools that align with a static organization chart, limited to a simple hierarchy, instead of understanding that every person can contribute multiple skills and perspectives to multiple and dynamically changing groups.
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a third generation of communications, based on 1) connecting people in real time; 2) smart and geographically-aware mobile devices; and 3) ubiquitous and cheap bandwidth.”
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We don’t have to party together to be appropriately (and strategically) social.
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IBM’s Strategy to Manufacture Social Networking Surprises
“The increased potential for generating surprise is a crucial difference between the kind of technology that most of us rely on every day and the sort that has arisen in the era of Web 2.0 and social networking. The more surprises a technology can produce, the greater its potential value. A few examples explain why this is true and may spark some thinking about how to increase the surprise factor in your business.”
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Contrast this with most of the business tools we use. There is almost zero potential for surprise in most of our environments. Our email inboxes are about the only place we can truly be surprised by something. In most other business applications, we get answers to questions that we have asked.
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The goal of enabling every business application to generate surprises is the main driver behind IBM’s creation of an ecosystem to support activity streams.
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The Activity Streams Project is being implemented in two ways: by extending the Atom Syndication format and by adding a JSON-based format to the Open Social 2.0 standards.
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The standard defines verbs that describe what people have done (join, post, mark as favorite, etc.) and objects (article, bookmark, person, comment, photo, etc.) that may be acted upon by actors .
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IBM is using the activity stream standards to create applications that can aggregate activity streams from many different sources. The idea is that applications of all kinds, from ERP to CRM to collaboration systems to HR and so on will all be able to post important events and information to the news feed.
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Imagine such messages as “John Doe changed sales opportunity for WidgetCo to 50 percent down from 80 percent†or “Ian Farquharson notified Supply Chain Manager that Shipment X to Key Customer is delayed.â€
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there will be native activity stream applications on mobile devices and tablets that will communicate with a cloud-based service that does the aggregation and helps figure out which activity streams are important to you.
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In addition to simple notification, the activity streams data could also include payloads of information that could be used by the device or the cloud-based service to perform activity
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The ultimate goal for IBM is not only to show that this suite of applications can be more valuable through integration of news feeds created from activity streams, but to also to act as a conduit so that the rest of the applications and sources of information used in a business can have their value amplified by social networking mechanisms.
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Their job is to show that this interconnected collection of applications is going to become the center of integration, a collaborative dial tone for business applications.
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If they can get SAP, Oracle, and all the other business application vendors to play along and integrate their technologies into their suite, end users could be treated to powerful surprises.
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The other players at the enterprise level, entrants such as Jive Software, Salesforce.com’s Chatter, Cisco’s Quad, Google Buzz, and others have offerings that have a smaller functional footprint.
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Quand les réseaux sociaux servent à former des équipes de travail
“« Alors que de plus en plus d’entreprises incitent leurs employés à recommander des candidats dans leur programme de recrutement, l’intérêt de former des équipes en utilisant les réseaux sociaux est devenu évident», expliquent une équipe de chercheurs de Yahoo! et Google. Dans une étude, ils proposent donc une méthode pour identifier au sein d’un réseau les meilleurs éléments pouvant former une équipe regroupant les compétences nécessaires à la réalisation d’un projet donné. “
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Pour cela, ils se sont intéressés au graphique représentant un réseau social de professionnels. Dans celui-ci, chaque individu est un nœud du réseau et les connexions entre les nœuds du réseau représentent les liens entre les différents individus.
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u. Les chercheurs ont ensuite développé un algorithme permettant de calculer la meilleure combinaison d’individus en fonction de critères prédéfinis (nombre de personne constituant l’équipe et compétences à réunir), le tout en assurant un maximum de cohésion dans l’équipe.
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Les chercheurs reconnaissent cependant que leur solution est encore imparfaite pour deux raisons. La première, c’est qu’elle part du principe qu’un individu est soit compétent dans un domaine, soit incompétent, sans parvenir à prendre en compte un degré de connaissance plus subti
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Par ailleurs, la valeur d’une équipe dépend aussi d’éléments plus complexes comme le contexte culturel, la personnalité ou tout simplement la capacité de chacun à s’intégrer au sein d’une équipe.
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