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  • “In the process of applying technology, we can’t forget that workforce engagement, the measure of whether an employee merely does the minimum required of them, versus proactively driving innovation and new value for the organization, is the ultimate objective here. Thus, engagement can only ever be partially accounted for by deploying the latest new collaborative technology, and probably significantly less than many of its proponents would have you believe.”

    tags: engagement technology employeeengagement workforceengagement

    • 1) The level of worker engagement in large companies is dishearteningly low today by any measure, but 2) that means the good news is that there is considerable opportunity for improvement.
    • Given the parade of data on low worker engagement lately, commentators and analysts have come out of woodwork this year, claiming that the industrial era model of work is “broken”, that that even the latest new models (such as social business, better intranets, unified communication, or fill-in-the-blank) for fixing this are “dead”
    • The challenge is that most managers don’t trust their employees and don’t even want them speaking publicly about the company, lest they create litigation or a PR disaster. This state of affairs is a evidenced by the broken employer-employee relationship in many organizations that is in a downward spiral of distrust,
    • Ironically, worker engagement is actually declining in today’s ultra-connected, post-industrial, perma-mobile, always-on society. In  short, by failing to address the entire engagement picture, it’s not likely that breakthrough new gains in collaboration are to be had.
    • At this point in the collaborative revolution, it’s become clear to many observers that culture change is one of the largest remaining obstacles to near-term advances in engagement, and therefore collaboration.
    • Digital natives don’t have to unlearn and then unwind process, culture, and behavior on a massive scale. Their legacy baggage is small enough to realize the changes required to reach the next-generation of workforce and customer engagement. While times are clearly changing quickly, unfortunately most large companies just aren’t adapting to the network model quickly enough, compared to their network-centric peers.
    • So some companies are clearly making the transition, often I’d note pointedly, by committing totally and experimenting with tolerance for learning from inevitable mistakes.
    • So to come full circle, technology certainly can greatly improve the engagement of employees and therefore the performance of organization, but only if they are ready to make the fundamental changes required to take inherent advantage of the unique power that a new technology makes possible.
    • it shouldn’t be surprising that acquiring a powerful new engagement technology, and then not focusing on using what makes it so powerful, results in poor outcomes.
  • tags: workforce real time systems of engagement intenet cloud insights analytics bigdata businessintelligence

  • “Dans la Technology Review (@techreview), Nicholas Carr (@roughtype) fait la critique de Social Physics, le nouveau livre de Sandy Pentland, directeur du Laboratoire de dynamique humaine du MIT. Dans ce livre, Pentland explique que notre capacité nouvelle à recueillir des données comportementales via les Big Data va permettre aux scientifiques de développer “une théorie causale de la structure sociale” et d’établir “une explication mathématique” de la société. “

    tags: socialphysics bigdata data realitymining datamining behaviors predictions socialengineering

    • Jusqu’à présent, les sociologues devaient travailler avec des données et observations floues, des données incomplètes, trop souvent déclaratives… Désormais, l’informatique va nous permettre de remédier à ces lacunes en puisant dans les flux de données qui transitent par nos gadgets, nos médias sociaux… les scientifiques vont pouvoir recueillir des informations précises et en temps réel sur des millions de personnes.
    • Pour cela, Pentland et ses équipes recourent aux fameux sociomètres, ces badges dotés de capteurs de position, microphones et accéléromètres permettant de regarder qui parle avec qui, le ton de sa voix, son langage corporel (mais qui n’enregistre pas les conversations) permettant de mesurer les chaînes de communication et d’influence du réel
    • Ce que le Big Data ne peut pas prendre en compte c’est ce qu’il y a de plus imprévisible et de plus intéressant en nous.”
    • La politique est en désordre parce que la société est en désordre et non l’inverse”
    • l y a de bonnes raisons d’être inquiet de cette forme d’ingénierie sociale. D’abord pour des raisons évidentes de confidentialités des données, que Pentland anticipe en évoquant son New Deal sur les données, rendant aux gens le contrôle sur les informations que les autres recueillent sur eux. Mais surtout, estime Carr, si définir les relations sociales comme des modèles de stimulus et de réponses facilite le calcul, elles risquent d’ignorer les sources profondes, structurelles des maux sociaux.
    • l’extraction de la réalité” (reality mining) va rendre possible la modélisation mathématique de la société. “Le pouvoir de la physique sociale vient du fait que la quasi-totalité de nos actions au jour le jour sont habituelles, principalement basées sur ce que nous avons appris de l’observation du comportement des autres”.
    • Mais décrypter le comportement des gens n’est qu’une première étape. L’enjeu pour Pentland est de changer le comportement des gens.
    • Pour Pentland, les classes politiques et économiques sont des stéréotypes simplistes auxquels il préfère les groupes de pairs, définies par des normes communes.
  • “Pierre Lévy y décrit l’étape d’après, celle d’après le livre et le web actuel, celle qui va compléter et amplifier notre culture actuelle basée sur la production d’écrits. Il est question d’augmenter significativement nos processus cognitifs.”

    tags: hypercortex cognition web collectiveintelligence cognitiveprocesses

    • Pierre Lévy constate que nous n’avons pas aujourd’hui de « dispositif Â» nous permettant de nous observer en train de converser sur un sujet ou de débattre. Alors que le médium numérique stocke maintenant toute notre culture, son exploitation est aujourd’hui pauvre, à la fois cloisonnée et limitée.
    • Et c’est là que le miracle a lieu, Pierre Lévy démontre qu’il est possible (techniquement) de construire ce “dispositif” permettant de voir et comprendre comment nous, humains, construisons de nouvelles théories, échangeons sur un problème (au hasard le dérèglement climatique ou l’écologie), débattons, faisons émerger de nouvelles approches. Nous serions donc capable d’inventer la couche suivante, celle qui s’appuie sur le web pour nous permettre de voir et comprendre notre culture, les courants de pensée sur un sujet ou encore les différentes approches en fonction des langues et des disciplines.
    • Rendre computable (c’est-à-dire que des algorithmes pourront analyser et exploiter) notre culture écrite , dans toutes les langues, puis Représenter et positionner nos concepts, nos théories, nos idées dans un système cartographique, appelée la sphère sémantique, pour enfin permettre à chacun de Pouvoir voir et comprendre, dans sa langue maternelle, comment nous manipulons les symboles que nous créons.
    • Puis il crée un système de symbole permettant  Ã  des automates programmables de tirer profit  du médium accessible par un réseau ubiquitaire, aux capacités de stockage quasi-illimitées.
    • La révolution numérique, c’est aussi quelque chose qui se sculpte et se façonne, se coule et se moule dans les projets des designers. C’est une révolution de notre capacité à faire le monde, c’est-à-dire à créer de l’être.
    • “Percevoir à l’ère numérique, c’est être contraint de renégocier l’acte de perception lui-même, au sens où les êtres numériques nous obligent à forger des perceptions nouvelles, c’est-à-dire d’objets pour lesquels nous n’avons aucune habitude perceptive.
    • Pour ce dernier la singularité se définit comme le moment où les machines seront capables de créer une nouveauté sans intervention humaine. A partir de ce point là, notre futur ne nous appartient plus, il est conditionné en partie par les machines.
    • La puissance, la diversité et également la capacité à décloisonner toutes les disciplines actuelles, de notre intelligence collective ainsi augmentée seront déterminantes pour comprendre, représenter les problèmes modernes sur lesquels notre culture achoppe.
    • L’Hypercortex permettra donc d’augmenter tous les processus de collaboration sémantique. Il permettra d’abord de traverser les cloisonnements imposées aujourd’hui par les langues naturelles, les ontologies, les plates-formes des médias sociaux, les moteurs de recherche et en général par les grandes entreprises du Web basées sur le cloud computing.

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Head of People and Business Delivery @Emakina / Former consulting director / Crossroads of people, business and technology / Speaker / Compulsive traveler
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