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Should Employers Help Employees Turn Off Technology? | MIT Sloan Management Review
“Pervasive and near-continual use of organizational information technology systems is taking a toll on some employees’ health.”
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The authors found examples where some employees actually resigned from their jobs “because they found it too stressful to cope with and learn to use constantly changing workflows/applications.â€
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1. Senior leadership should make mindful use of IT an organizational priority.
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2. IT leaders should build and maintain vigilance against IT’s dark side.
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3. HR leaders should monitor and enhance employees’ well-being.
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The Sharing Economy Isn’t About Sharing at All – HBR
“The sharing economy has been widely hailed as a major growth sector, by sources ranging from Fortune magazine to President Obama. It has disrupted mature industries, such as hotels and automotives, by providing consumers with convenient and cost efficient access to resources without the financial, emotional, or social burdens of ownership. But the sharing economy isn’t really a “sharing†economy at all; it’s an access economy.”
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Sharing is a form of social exchange that takes place among people known to each other, without any profit.
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This insight − that it is an access economy rather than a sharing economy – has important implications for how companies in this space compete.
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It implies that consumers are more interested in lower costs and convenience than they are in fostering social relationships with the company or other consumers.
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Competition between companies will not hinge on which platform can provide the most social interaction and community, contrary to the current sharing economy rhetoric.
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Consumers think about access differently than they think about ownership. And most of our best practices in marketing are built upon an ownership model.
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A successful business model in the access economy will not be based on community, however, as a sharing orientation does not accurately depict the benefits consumers hope to receive
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It is important to highlight the benefits that access provides in contrast to the disadvantages of ownership and sharing.
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Créer une marque employeur en 4 ans : la campagne d’Allianz France – CELSA-RH
“Lancer une marque employeur tout en intégrant le marché français est un des défis auxquels a été confronté l’assureur Allianz. Pour le relever, la stratégie a clairement été définie autour du digital et du témoignage des collaborateurs. “
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la page Allianz France Jobs, actuellement titulaire de 5266 likes, en cinquième position de son classement sur les meilleures pages de marque employeur, même si les publications génèrent assez peu d’interactions.
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Sur Twitter, une offre d’emploi par semaine était publiée, mais l’oiseau bleu est maintenant réservé au corporate.
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La page carrières d’Allianz France sur Linkedin, avec 4075 abonnées, est épurée par rapport à Facebook. Elle contient les offres d’emploi, quelques publications essentielles, et renvoie aux autres vitrines de la marque.
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52 vidéos sur YouTube décrivent les métiers par le témoignage des collaborateurs et donnent des conseils aux candidats. Ce sont ces dernières qui dépassent le millier de vues.
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La prééminence de Facebook dans la stratégie communicationnelle d’Allianz est pertinente pour toucher les jeunes diplômés et soutenir l’image de proximité de la marque avec ses cibles.
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Les vidéos d’immersion dans le quotidien des collaborateurs réussissent parfaitement à expliquer les métiers et à humaniser le contact avec l’entreprise.
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Cependant, l’effort de proximité de la marque avec ses potentiels futurs employés peut sembler excessif à certains égards
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La distillation extrêmement fine des contenus gagnerait simplement à s’étendre à un plus grand nombre de réseaux digitaux, afin de pérenniser les acquis de cet excellent démarrage.
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Une protection sociale en phase avec l’économie numérique
L’économie numérique ne profitera à tous que lorsqu’elle sera dotée d’institutions en phase avec son régime de création de valeur. Les nouvelles formes de travail qui domineront demain imposent un nouveau New Deal : la mise en place d’une protection sociale en phase avec l’économie numérique. Si nous y parvenons, un âge d’or est à venir. Si nous échouons, nous cesserons d’être un pays développé.
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L’économie numérique ne profitera à tous que lorsqu’elle sera dotée d’institutions en phase avec son régime de création de valeur. Les nouvelles formes de travail qui domineront demain imposent un nouveau New Deal : la mise en place d’une protection sociale en phase avec l’économie numérique. Si nous y parvenons, un âge d’or est à venir. Si nous échouons, nous cesserons d’être un pays développé.
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Nous quittons une économie de masse dominée par le salariat pour entrer dans une économie numérique où il n’y a plus de forme dominante mais plutôt la coexistence, pour un même individu, de plusieurs formes et statuts d’emploi, qui se cumulent à un instant donné ou se succèdent dans le temps
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Deux formes d’emploi sont probablement appelées à devenir dominantes dans l’économie numérique : il s’agit des entrepreneurs et des travailleurs indépendants (freelancers).
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A l’image des non-ouvriers, on voit que les salariés pourraient rester majoritaires (en proportion relative) sans pour autant coïncider avec la représentation que nous nous faisons du monde du travail.
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Etre entrepreneur devient une nouvelle identité que revendiquent tous ceux qui, comme Channing Tatum dans Magic Mike, cherchent un statut social dans une société du déclassement généralisé
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Avec la montée en puissance de la sharing economy, les entrepreneurs découvrent des alternatives inédites et la possibilité de faire travailler des particuliers indépendants en lieu et place de salariés.
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Le problème est que nos institutions ne sont pas adaptées à ces formes d’emploi et que cette inadaptation empêche la création de valeur.
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Tant que ces risques les plus critiques ne sont pas couverts par des institutions adaptées, il est impossible pour les acteurs d’anticiper le développement de l’économie et d’aligner leurs intérêts
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parce qu’elle a été modelée pour un paradigme dominé par une forme de travail en voie de marginalisation, notre protection sociale est à l’origine d’un double problème
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Il y a donc une destruction nette de valeur : nombreux sont ceux qui choisissent de rester salariés, quitte à créer moins de valeur ; ceux qui sautent le pas et deviennent entrepreneurs ou freelancers sont empêchés dans leurs efforts de créer de la valeur car surexposés à de trop nombreux risques critiques :
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Sortirons-nous de cette course incertaine avec une protection sociale redéployée et plus puissante (scénario Roosevelt) — ou sans protection sociale du tout (scénario Thatcher)
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Gartner Workplace Vision: Digital Dexterity
“In the vision presented at this week’s Gartner Digital Workplace Summit in Orlando, the point is to achieve “digital dexterity,†an agile enterprise in which people are empowered to deal effectively with “dynamic, non-routine work.—
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One of the explicit goals of digital workplace strategy must be to create “a consumer-like computing experience,
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Consumer grade is the new industrial strength.
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By moving away from command-and-control hierarchy and allowing employees more autonomy, businesses make room for “discretionary contributions to business effectiveness.
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Yet over the past couple of years, the ability of the software to understand and anticipate our needs has steadily improved.
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The next step will be more like WYNIWYG – what you need is what you get – and soon WHYNIWYGWYNI (the acronym Gartner is ridiculously proud of) for what you need is what you get when you need it.
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“Une interview, sur la stratégie de transformation digitale de la banque privée de BNP Paribas, présente dans 27 pays.”
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. Certes, nos clients sont en moyenne plus âgés mais ils sont modernes, souvent des entrepreneurs ou issus de entrepreneuriat, très bien équipés et sont pleinement dans l’ère du digital que ce soit à titre privé ou professionnel. Ils ont énormément d’attente vis-à -vis du digital.
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nous avons adopté un modèle collaboratif, en réunissant des gens de huit pays venant du marketing, de la communication et du produit – uniquement orientés business, donc – pour réfléchir ensemble à la stratégie digitale.
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L’une des craintes dans l’univers de la banque privée est que le digital casse l’intimité avec le client
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Le groupe a aussi mis en place une communauté de leaders du digital, qui génère de nombreux échanges.
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our l’instant, les start-up FinTech s’attaquent surtout beaucoup à des niches, mais cela ne veut pas dire qu’elles ne peuvent pas gagner de l’ampleur demain
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La méthode Agile est idéale car elle permet d’ajuster en continu, de livrer régulièrement de la valeur ajoutée et d’affiner par l’expérience les gains pressentis.
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