Résumé : l'économie de la connaissance repose sur l'humain comme moteur d'efficacité et de croissance, c'est un fait acquis. Elle nécessite, pour assurer la compétitivité des entreprises dans les années à venir, la mise en place de dispositifs, de modes opératoires, de pratiques spécifiques. C'est compris mais loin d'être facile à mettre en œuvre. Investir dans l'humain et des dispositifs permettant que ses qualités soient utilisées au mieux dans le processus productif est un non sens, notamment au regard d'indicateurs de gestion qui ont été conçus pour d'autres modèles...