Dans les environnements numériques, on parle d’agilité, d’itération, d’apprentissage permanent mai l’échec reste un mot qu’on évite. Il est perçu comme un écart, un défaut de maîtrise, voire un dysfonctionnement organisationnel. Résultat : on le masque, on le contourne, on le fait disparaître des indicateurs. Bref, on cache la poussière sous le tapis et on évite d’en faire quelque chose.
Pourtant, dans les opérations digitales, l’échec n’est pas un accident. C’est une composante normale de systèmes qui sont complexes, instables et, surtout, en évolution permanente. Ne pas en parler, c’est renoncer...
Il y a quelques temps de cela je faisais remarquer que, paradoxalement, le dynamisme du monde digital pouvait être facteur d'inertie dans les entreprises....
Chaque début ou fin d'année est le moment des prédictions en tout genre sur nos sujets de prédilection.
Bon, soyons un peu honnêtes. Les prédictions...
Cela fait quelques années qu'on entend dire partout que demain toutes les entreprises seront d'une manière ou d'une autre des entreprises technologiques. Jeff Immelt,...
En début d'année j'ai trouvé un article très intéressant sur le rapport des jeunes à l'informatique. Un article dans lequel Jean-Noël Lafargue, chercheur et...