Ca ne vous a certainement pas échappé, cet émoi qui a traversé la blogosphère mais également les très respectables médias institutionnels. Le web 2.0 est mort ! Tout n'est pas parti de ce billet de Michael Arrington mais vu qu'il dispose d'un plus gros porte voix que les autres il a eu son petit effet. Un peu plus de retenue chez Ouriel qui garde les yeux suffisamment ouverts pour faire la différence entre un phénomène de fond et les guirlandes forcément plus éphèmères qu'on lui a accroché histoire de...