Je viens de voir un excellent article sur le sujet, pointé par Martin Roulleaux-Dugage. Ce qui différencie le Knowledge Management traditionnel de son évolution 2.0, c'est bel et bien qu'il ne s'agit plus d'une tche, d'une astreinte, mais d'une manière de faire les choses, indolore car s'exerçant au fil de l'eau.
Prendre du temps pour classer, renseigner, stocker, est une véritable charge qui a souvent amené les projets KM droit à un échec, relatif dans certains cas, total dans d'autres. Par contre, d'un clic, classer, publier, mettre à disposition une...
On parle souvent des knowledge workers, de leurs besoins en termes d'organisation, d'outils, de savoir comment les manager, de savoir comment évaluer leur productivité...